Les choux de Bruxelles

À partir de 1550, Obbrussel développe la culture maraîchère, en particulier celle du chou, à proximité des remparts de la deuxième enceinte. À cet effet, on assèche les étangs et on convertit de vastes étendues en terres arables. Mais la surface reste insuffisante pour alimenter une population qui ne cesse de s’accroître. Aussi, vers 1650, les ancêtres des Saint-Gillois privilégient la culture intensive du Brassica capitata polycephalos ou chou de Bruxelles, communément sprôtche ou sprôtje.

Ils y gagnèrent le surnom de Kuulkappers.

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